5 bonnes raisons de craquer pour le melon

5 bonnes raisons de craquer pour le melon

Désaltérant, peu calorique, le melon nous permet d’allier plaisir et légèreté.
Profitez-en cet été et passez avec lui des vacances gourmandes !

1 – Le melon : riche en eau

Savoureux, le melon se caractérise par une teneur en eau importante (89 %) : ce qui lui donne son côté désaltérant et hydratant pour l’organisme.

2 – Le melon :  un apport calorique bas

Peu calorique (41,9 kcal/100 g) est une chance pour se faire plaisir à moindre « coût énergétique ». Ce faible apport énergétique s’explique par le fait que le melon contient peu de protéines (0,7 g/100 g), très peu  de graisses et un apport en glucides (sucres) bas (8,79 g/100 g).

3 – Le melon : riche en vitamine A

Le melon est riche en vitamine A sous forme de bêta-carotènes (1060 μg/100 g). Le bêta-carotène, présent uniquement dans les végétaux, se transforme dans l’organisme en vitamine A. La vitamine A contribue notamment à une bonne vision et au fonctionnement du système immunitaire.

4 – Le melon : riche en vitamine C

Le melon est riche en vitamine C (28,8 mg/100 g) essentielle notamment à une bonne assimilation du fer, la lutte contre les infections et qui aide à réduire la fatigue.

5 – Le melon : source de potassium

Le melon est source* de potassium (335 mg/100 g) nécessaire au bon fonctionnement du système nerveux, des muscles, des cellules et au maintien d’une pression sanguine normale.

Une portion de 100 g de melon**

41,9 kcal
42 % des VNR*** en vitamine A

36 % % des VNR en vitamine C
16,7 % des VNR en potassium

Le melon : pour qui ?

Appartenant à la famille alimentaire des fruits et des légumes, le melon est conseillé aux enfants, adolescents, adultes….
Il peut être consommé dès l’âge de 8 mois révolus sous forme de compote cuite et dès 10 mois sous forme de compote crue, en fonction des capacités de mastication de votre enfant et en faisant attention aux risques de fausse route.

Facile à cuisiner, le melon est un aliment idéal pour faire participer les enfants à la préparation d’une recette, d’autant plus qu’il se prête à des présentations variées : en tranches, en billes (à l’aide d’une cuillère parisienne), en cubes, mixé… Ceci aide votre enfant à le goûter, à se familiariser avec lui et à l’adopter pour longtemps dans son alimentation.

Le melon est également conseillé si vous surveillez votre ligne car peu calorique.
En cas de diabète, savourez-le au moment des repas d’autant plus que son index glycémique est de 65.
Si vous suivez une alimentation spécifique contre le cholestérol, le melon, ne contenant pas de graisses, vous permet d’apporter une touche gourmande en entrée ou en dessert.

Le melon : 6 astuces équilibre

Savourez le melon de préférence nature en entrée ou en dessert.
Le melon n’a pas besoin d’un ajout de sucre ni d’une vinaigrette pour être bon, ce qui est un atout. C’est surtout son degré de maturité qui compte.
Apprendre à bien le choisir est l’une des manières de préserver son plaisir et… son équilibre alimentaire.

Si vous prenez un demi-melon en entrée, ne prenez pas d’autres fruits au repas.
Il représente à la fois la crudité et le fruit conseillés dans le cadre d’un repas équilibré.

Si vous avez faim, un demi-melon en entrée, du fait de son volume généreux, vous aidera à l’apaiser : une astuce pratique pour gérer les apports alimentaires du repas.

Facile à préparer, le melon permet de réaliser des repas équilibrés en un rien de temps : un demi-melon, quelques tranches de jambon cru, une faisselle de fromage blanc, du pain : un repas sur le pouce délicieux !

Pensez à lui à l’heure de l’apéritif : léger, gourmand, il limitera les « dérapages » caloriques de ce moment où il est difficle de se contrôler.

Pour varier les plaisirs et accroître votre diversité alimentaire essentielle à une bonne satisfaction de vos besoins nutritionnels, mariez-le avec d’autres aliments comme le jambon ou le magret de canard pour l’apport de protéines, ou d’autres légumes et fruits, sources de vitamines et minéraux.

Bonne dégustation

*Les termes « source de  » et « riche en  » sont réglementés.
Il est possible de les utiliser uniquement quand la teneur de l’aliment en une vitamine ou un minéral répond à des critères quantitatifs spécifiques.
Pour dire qu’un aliment est « source de « , il doit contenir à minima 15 % de la Valeur Nutritionnelle de Référence (VNR) de la vitamine ou du sel minéral concerné.
Pour dire qu’un aliment est « riche en« , il doit contenir à minima 30 % de la Valeur Nutritionnelle de Référence (VNR) de la vitamine ou du sel minéral concerné.
**source Table Ciqual – Anses

***Valeurs Nutritionnelles de Références 

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *